Pour renouveler sa flotte, Locaboat vend régulièrement des bateaux sans permis. Avis aux amateurs d’une vie fluviale tout au long de l’année !
Mais pourquoi Locaboat vend ses bateaux ?
La réponse de Christophe Buisson, responsable des ventes de bateaux, est très simple : il faut régulièrement renouveler la flotte de bateaux sans permis. Chaque année, environ 10 Pénichettes® sont mises en vente pour le plus grand bonheur des passionnés de la vie fluviale. En général, ces bateaux datent de la fin des années 1980 jusqu’au milieu des années 1990.
Alors, sont-ils encore en bon état ?
« Absolument ! », assure Christophe Buisson. Bien qu’ils soient âgés d’environ 25 ans, ils encore en circulation et sont révisés à chaque hivernage. Certes, ils ne sont pas rénovés avant la vente (sauf quand des réparations s’imposent), mais tout est prévu pour leur donner une nouvelle vie : « Beaucoup de gens espèrent faire de leur Pénichette® une résidence à temps plein, même s’il faut savoir que l’hiver est un peu difficile. En règle générale, on peut vivre à bord d’avril à novembre, à moins de mettre le cap vers le sud », explique Christophe Buisson.
Alors pourquoi acheter ?
Tout simplement pour pouvoir naviguer en toute liberté et à tout moment et personnaliser encore plus sa croisière fluviale. La majorité des acheteurs sont des couples de plus de 40 ans dont l’objectif est de lever le pied, d’abandonner une vie de stress pour de parcourir la France et l’Europe tout au long de l’année.
C’est un bon calcul puisque les prix sont plus que raisonnables. Rien à voir avec le coût de la vie sur une péniche traditionnelle ! Pour l’achat d’une Pénichette®, il faut compter de 30 000 à 40 000 euros selon le modèle allant de 9 à 11 mètres et pouvant accueillir de 5 à 7 personnes. Bien sûr, d’autres coûts s’ajoutent : celui d’un port d’attache si l’on ne souhaite pas naviguer toute l’année (de 1000 à 1500 euros par an selon le port) et d’une assurance (de 200 à 500 euros par mois, avec trois obligations : le renflouement, la pollution et la responsabilité civile). Mais ensuite, on navigue à son gré du Nord au Sud et à travers toute l’Europe, sans contrainte, et en toute liberté… et ça, ça n’a pas de prix !